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Cécile Mourette – Responsable de la planification et de la logistique chez Cartier
Cécile n’a pas suivi un chemin tout tracé. Ce qui la guide ? La curiosité, l’adaptabilité et une volonté de trouver du sens à ce qu’elle fait. « J’étais bonne élève, mais on ne m’a jamais demandé ce que je voulais faire. Le jour où on me l’a demandé, juste avant le bac, j’avais 16 ans… et aucune idée. » Refusant d’aller dans une classe préparatoire où elle passerait son temps assise sur une chaise, elle opte pour une formation en biologie. Ce n’était pas la matière où elle ex
3 oct.
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Diana De Lima Reis – Apprentie polymécanicienne à Sainte-Croix
À la base, Diana voulait travailler avec les enfants… ou les animaux. Rien à voir avec les machines-outils, les copeaux et les tours à commande numérique. Et pourtant, un jour, tout bascule. Son copain, apprenti polymécanicien, l’invite à une journée portes ouvertes dans son école. Elle monte à l’étage de l’atelier, aperçoit les machines… et c’est le coup de foudre ! « J’ai vu les machines, j’ai vu les apprentis travailler avec leurs mains, et je me suis dit : je veux faire ç
3 oct.
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Karen Adam – Ingénieure en R&D au CSEM, spécialiste en traitement de signaux médicaux
Karen travaille au Centre Suisse d’Électronique et de Microtechnique (CSEM), à Neuchâtel. Un centre qui fait le pont entre le monde...
3 oct.
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Valeria Villanueva – Apprentie polymécanicienne au CPNVÂ
Valeria est arrivée en Suisse un peu par hasard, en pleine pandémie du COVID. Originaire du Pérou, elle pensait venir uniquement pour se faire vacciner. Mais en découvrant le pays, sa stabilité, sa sécurité et ses opportunités, ils ont décidé d’y rester avec sa mère et son frère. À son arrivée, elle ne parlait pas un mot de français. Elle a donc fait une année dans une école, le temps d’apprendre la langue et de s’adapter. Passionnée de dessin, elle a d’abord tenté une premiè
3 oct.
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Louise Bugnard– Ingénieure en recherche et développement chez MPS
Louise a toujours été intéressée par les matières techniques. Lors de son cursus, dès qu’une option mêlait mathématiques et physique, elle la choisissait. Mais les choses n’ont pas toujours été évidentes. « J’ai souvent hésité. J’ai envisagé d’autres voies, comme l’économie comme ma grande sœur. Mais j’ai préféré suivre ma propre direction. » Elle entre à l’EPFL, portée par une logique scolaire et choisit le génie mécanique, avec une hésitation vers la microtechnique. Les déb
3 oct.
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Valérie Flück – Ingénieure en science des matériaux, travaille en R&D chez Rolex Â
Valérie a toujours aimé l’école, plus particulièrement les maths, les sciences et la physique. Elle n’avait aucune idée de ce qu’elle...
22 mai 2024
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Solène Andreoli  – Apprentie horlogère rhabilleuse en 3ème au Lycée Technique Â
Petite, je savais que je voulais faire un métier manuel. Ma mère, qui est une artiste, m’encourageait à faire une école d’art. Lors de la...
22 mai 2024
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Gaëlle Hiltbrand – Apprentie horlogère en 4ème année chez Omega
Gaëlle a découvert qu’elle souhaitait faire un métier manuel quand elle a participé à la journée « Futur en tout genre » avec son père...
22 mai 2024
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Emma Argenziano – Apprentie automaticienne au CPNVÂ
Emma Argenziano – Apprentie automaticienne au CPNV Emma avait besoin de suivre une formation dans laquelle elle faisait quelque chose de...
22 mai 2024
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Daniele Soranzo– Formatrice en horlogerie au Lycée Technique
Daniele a fait le Technicum neuchâtelois en horlogerie il y a déjà quelques années. À l’époque (en 1986), elle était la seule fille dans...
22 mai 2024
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Mylène Guerdat – Apprentie Horlogère d’Industrie en 4ème année chez Rolex
À 10 ans, Mylène savait que c’était sa voie grâce à une journée découverte passée avec son cousin horloger. Elle a toujours aimé les...
22 mai 2024
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